>> Même le silence à une fin:
« Peu à peu, je prenais le chemin du détachement des petites et des
grandes choses, pour ne pas être assujettie à mes désirs ou à mes
besoins, car n’ayant plus le contrôle de leur assouvissement, je ne
devenais que plus prisonnière entre les mains de mes geôliers. »
Le 23 février 2002, Ingrid Betancourt est enlevée par les FARC. Un calvaire commence, qui prendra fi
n six ans et demi plus tard, le 2 juillet 2008.
Ingrid Betancourt décrit avec précision sa captivité aux mains des
FARC. Le récit débute par une impressionnante scène, décrivant l’une de
ses cinq tentatives d’évasion. Le lecteur est ainsi fixé à la fois sur
la détermination de la prisonnière, et sur la dureté de ses conditions
de détention. On revient ensuite au début de l’histoire, qui suivra dès
lors le fil chronologique, à commencer par la journée du 23 février
2002.
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